mercredi 22 décembre 2010

conclusion


Au cours de notre travail, nous avons pu voir que la consanguinité a été présente tout au long de l’Histoire.
En effet, dans les sociétés où celle-ci a été approuvée, elle s’est imposée comme un privilège exclusif, notamment comme un privilège royal dans certaines sociétés telles que celle propre au règne de la dynastie des Habsbourg, celle de la royauté Hawaïenne, et enfin celle de l’Egypte Antique.

La consanguinité a évolué avec le temps, les raisons qui poussent à ce genre d’unions ne sont plus les mêmes qu’avant. Les problèmes techniques et d’instruction ont peu à peu remplacé la question du privilège royal et du pouvoir. De plus, les gens disposent maintenant de leur libre arbitre, ils peuvent choisir leur conjoint eux-mêmes.

Nous avons également pu observer que la consanguinité a été réprouvée pour des raisons sociologique et scientifique. Claude Lévi-Strauss a présenté dans son ouvrage, Les structures élémentaires de la parenté, sa théorie de l’alliance. Il donne ainsi son point de vue réprobateur concernant les unions consanguines. Ce point de vue est repris par les scientifiques, qui, par leurs recherches, ont montré que de ces unions pouvaient résulter des tares génétiques.
Ces deux aspects ont amené à l’élaboration de lois prohibant les unions consanguines.
Il faut cependant noter que ces lois sont propres à certaines sociétés, comme par exemple la société française. De plus, certaines personnes, bien qu’étant dans l’obligation de suivre ces lois, ne le font pas. En témoigne le récit de l’homme français de 26 ans.

On ne peut pas dire que la consanguinité est approuvée ou réprouvée dans nos sociétés.
En effet, cela dépend de l’opinion de chacun et des lois en vigueur dans notre pays. De nos jours, dans la plupart des cas, s’unir avec une personne de sa famille est un choix personnel. Cependant, en France, la consanguinité est sujette à de nombreux préjugés.
Vivons-nous dans une société qui ne fonctionne que par idées reçues ou disposons-nous de la liberté d’aimer n’importe qui ?

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